Campus Universitaire Saint Charles à Montpellier - 34 - Tranche 2
![]() Vue d’ensemble, en surplomb du jardin méditerranéen | ![]() Vue depuis l’axe du jardin |
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![]() Vue de l’angle Sud-Est depuis le jardin | ![]() Articulation de l’ancien bâtiment réhabilité et du jardin d’hiver |
![]() Parvis d’accès du campus : A gauche la 1ère tranche et à droite la 2ème | ![]() Reflet de la façade en pierre de la tranche 2 dans le mur rideau en verre de la tranche 1 |
![]() | ![]() Vue de l’escalier monumental du hall |
![]() Vue d’un passage à travers le bâtiment | ![]() Circulations à rez-de-chaussée |
![]() Circulations à rez-de-chaussée | ![]() Salle des thèses décorée de trompe l’œil |
![]() Nouvel amphithéâtre glissé sous les voûtes existantes – Vue vers le haut | ![]() Vue du nouvel amphithéâtre, vers la chaire |
![]() Le nouvel amphithéâtre à gradins | ![]() Salle des colloques : Panneaux acoustiques jaunes suspendus |
![]() Salle des colloques : Ecran et technologies intégrés en toute discrétion pour laisser intact le volume des voûtes | ![]() La façade du jardin d’hiver est détachée du sol naturel, par un talus planté |
![]() La façade du jardin d’hiver est détachée du sol naturel, par un talus planté | ![]() Lames de verre en position ouverte, pour ventiler naturellement cet espace de transition |
![]() Vue intérieure du jardin d’hiver, lieu de convivialité du centre de recherche | ![]() Toiture du jardin d’hiver, décollée des façades existantes en pierre par une verrière filante |
![]() Le traitement de cette jonction par une verrière permet à la lumière naturelle de lécher la façade existante, mettant en relief les médaillons en pierre | ![]() Détail d’articulation entre la façade du jardin d’hiver et de la façade en pierre |
![]() Détail d’articulation entre la toiture et les façades en pierre, depuis l’intérieur | ![]() Détails des façades en pierre restaurées |
![]() Détails des façades en pierre restaurées | ![]() Détails des façades en pierre restaurées |
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![]() Détails des lames mobiles en verre | ![]() Détails des lames mobiles en verre |
![]() Plan de masse | ![]() Coupe sur jardin d'hiver |
![]() Détail jardin d'hiver |
nom de la réalisation:
Campus universitaire Saint-Charles : tranche 2
Un centre de recherche en Sciences Humaines dans un ancien hospice, pour l'université Paul Valéry - Montpellier 3
architecte mandataire:
HELLIN SEBBAG ARCHITECTES ASSOCIES
Architecte patrimoine associé :
FABRICA TRACEORUM
adresse:
Rue du professeur Henri Serres et rue Auguste Broussonnet
MONTPELLIER (34)
maître d'ouvrage:
Etat - ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche
Rectorat de l’Académie de Montpellier
programme:
Reconversion du bâtiment « des Incurables », bâtiment hospitalier du 18e siècle inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques , en centre de conférences et de recherche en sciences humaines pour l’Université Paul Valéry .
- Le bâtiment accueille notamment une Maison des Sciences de l’Homme, le département d’archéologie et le département d’Egyptologie
- RDC : hall d’accueil, amphithéâtre 100 places , 4 salles de séminaires de 80 places, la bibliothèque d’archéologie, un jardin d’hiver
- R+1 et R+2 : espaces de travail à partager et bureaux pour les chercheurs
surface:
6 377 m² SHON (réhabilitation)
calendrier:
Chantier 33 mois - livré en Avril 2017
montant total des travaux:
9,95 M€ H.T (valeur Avril 2017)
photographe :
Jean-Pierre PORCHER
Conseillère médias :
Florence Valabregue - f.valabregue@lesmotspourvousdire.com
communiqué de presse:
Un centre de recherche en Sciences Humaines dans un ancien hospice
Depuis déjà 10 ans l’agence HELLIN-SEBBAG travaille sur la reconversion du site de l’Hôpital Saint-Charles en campus pour l’Université Paul Valéry.
Après avoir achevé la première tranche de travaux en 2011, l’agence a livré au printemps 2017 la deuxième tranche aussi appelée « l’aile des Incurables ».
Alors que le premier bâtiment, du XVIIème siècle initialement destiné aux indigents avait été construit de façon sommaire en moellons enduits avec des façades peu percées, l’aile des Incurables, du XVIIIème, est construite en pierre de taille avec de nombreux éléments décoratifs (médaillons, bandeaux, corniches) et de grandes fenêtres. Malgré leurs similitudes programmatiques, les 2 bâtiments présentent donc des différences qualitatives qui ont induit deux approches architecturales différentes.
Articuler l'ancien et le contemporain
Le projet se développe sur 6 377 m2 SHON. Le RDC accueille le public pour des conférences et des colloques internationaux, tandis que les espaces de travail des chercheurs sont implantés au premier et au deuxième étage.
Ces colloques nécessitent la création à RDC de salles de séminaires mais surtout d’un amphithéâtre, ce qui paraissait presque impossible dans ce bâtiment du XVIIIème siècle aux dimensions et à la structure porteuse si peu adaptées. Les architectes ont cependant réussi à insérer un amphithéâtre de 100 personnes, qui occupe toute la largeur de l'aile centrale de ce bâtiment très étroit (10,5m) et voûté (h=5,3m).
En conséquence, pour distribuer les locaux du RDC les architectes ont conçu une extension contemporaine, un jardin d’hiver, composé d’éléments légers : une charpente métallique, un plancher en bois et des lames de verre mobiles qui permettent de ventiler mais aussi de voir en transparence depuis l’extérieur la belle façade réhabilitée du bâtiment.
Le jardin d’hiver, parfumé par les orangers en pots, devient par son aménagement convivial le pôle central du bâtiment, un espace de transition , ni intérieur, ni extérieur, entre le bâtiment en pierre restauré et le beau jardin méditerranéen.
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publications :